La légende raconte que Khiva en Ouzbékistan est née autour du puits « Haywak », qui était célèbre pour ses eaux douces. Le puits fut creusé par le fils aîné Noah. Ce puits est encore préservé sur le territoire de la forteresse d’Ichan-Kala.

A Khiva, l’histoire ancienne de la ville est accessible aux visiteurs. L’architecture, les rues, les minarets, les Madrasas… relatent une histoire ancrée, riche et ouverte. Ici tout est original, la cuisine, les gens, la langue, etc. Presque tout est conservé dans sa forme quasi-historique. Les rues sont pavées de pierre. Comme des pièces d’échecs, des minarets, des dômes de madrasas et des mosquées peuvent être vus de partout. Même les bâtiments modernes sont décorés à la manière antique pour donner à la ville sont cachet authentique.

La ville est située dans la région de Khorezm au sud-ouest de la ville d’Urgench près de la frontière du Turkménistan. A Khiva, l’été est très chaud et sec. L’hiver est rude et froid. La visite est recommandée à la fin du printemps ou dans les mois d’automne, quand le temps est relativement doux.

Le voyageur à Khiva découvre un immense musée à ciel ouvert. La forteresse d’Ichan-Kala est au cœur de ce musée. C’est ici que la plupart des monuments sont situés. Les murs d’Ichan-Kala ont été construits au 5ème-6ème siècles.

Les gens de la région sont simples, modeste et hospitaliers. Ils parlent une langue d’origine turc. Elle est très mélodique et belle et ne ressemble pas à la langue ouzbèke. Déjà, nombreux sont les ouzbeks qui ne comprennent pas le dialecte du Khorezmien.

La cuisine de la région de Khorezm est assez diététique, bien qu’elle soit composée parfois d’une nourriture très riche en calories.

Le plat le plus connu est « tukhum barak » ou « yumurt barrack ». C’est un mélange de beurre fondu et d’œufs.  Il est très copieux et riche en calories.